En matière de compléments alimentaires, on entend bien souvent dire que c’est du dopage ou que ça ne sert à rien. Entre les deux, il y a de la marge. On vous a dit que… vous avez lu que… , ou vous avez l’impression de l’avoir toujours su… Pourtant, de fausses croyances circulent, certains rapportent des lieux communs ou des clichés qui finissent par sembler vrais, tant on les a entendus.
Les boosters agissent comme les hormones
C’est faux ! Même si dans les deux cas, l’objectif est d’avoir plus d’hormones dans le sang pour augmenter les performances, leur mode d’action est totalement opposé. Les hormones, prises de manière exogène sont apportées dans un dosage tel (environ 10 à 15 fois le taux normal) que, l’organisme n’étant pas adapté, il va développer des troubles (allant de l’élévation du cholestérol jusqu’au cancer). Dans le meilleur des cas, aucun trouble ne sera ressenti, mais l’organisme va stopper sa propre production hormonale puisque les taux sont 10 fois supérieurs (rétrocontrôle hormonal négatif). A terme c’est l’arrêt de la sécrétion hormonale alors que les boosters ou les stimulants hormonaux, au contraire, sont des nutriments (plante, acide aminé ou vitamine) qui vont permettre à votre organisme de produire plus d’hormones.
Deux avantages aux boosters:
- stimuler votre organisme pour qu’il en produise encore plus et aucun risque de surdosage.
- De plus, avec les boosters, vous ne risquez pas de conversion extrême en œstrogènes et donc de rétention d’eau excessive. Les résultats sont, certes bien moins rapides avec les boosters, mais ils sont sans risque et la précipitation est toujours mauvaise dans le culturisme et n’amène à rien sur le long terme.
Stimuler sans risque